La qualité de l’air de votre établissement compte autant que la qualité de vos assiettes.

Non, aucune solution, prise individuellement, n’est la panacée. Cependant, la qualité de 

l’air est primordiale pour lutter contre le coronavirus qui se propage essentiellement par aérosols. 

Dois-je m’équiper d’appareils de traitement de l’air si j’ai déjà une centrale de traitement de l’air ? 

Il a été prouvé scientifiquement que même s’il est bien équipé, d’un établissement bénéficie d’une amélioration sensible de la durée de traitement de l’air grâce à l’apport d’un complément de filtration et de stérilisation aux UVC.

Faire appel à des professionnels sérieux et reconnus est un gage de dimensionnement correct de l’équipement et donc de son efficacité future.

Non, bien au contraire, les deux techniques sont complémentaires et remplissent des rôles différents. La stérilisation par les UVC permet d’éradiquer le virus, la filtration de le contenir.

Des tests grandeur nature ont été réalisés sous le contrôle de laboratoires universitaires et d’organismes de certification indépendants. Ils prouvent, chiffres à l’appui, l’amélioration significative de la qualité de l’air.

Oui, il existe des solutions pour tous les volumes et tous les types de bâtiments. Le coronavirus est déjà naturellement plus dilué dans un gros volume qui demandera des apports adéquats.

Oui, c’est scientifiquement prouvé. Il y a donc lieu de calibrer votre investissement en fonction de l’occupation réelle des lieux pour rencontrer judicieusement les normes.

Il se propage essentiellement par aérosols (gouttelettes en suspension dans l’air). Ces aérosols se diluent dans l’air comme un halo de fumée de cigarette. Plus il est dilué, moins il est infectant, d’où l’intérêt d’une bonne aération.

La législation prévoit en effet qu’un plan d’actions doit être mis en œuvre dès que la mesure de la qualité de l’air est affectée au-delà de 900 ppm. La ventilation est l’une des mesures phares de ces plan d’actions.